Une fois passé la lecture du mode d'emploi en anglais, parce que... bah j'entrave que dalle à l'allemand ! Et après avoir fini toutes mes poses, j'ai pensé aux gens qui ne comprennent pas la langue de Shakespeare ni celle de Goethe et qui, du coup, n'ont pas du suivre le mode d'emploi et réussir sans soucis leurs collages ;)
En plus, Golgoth Trad. (depuis l'allemand) n'aide pas trop avec des résultats du genre "L'heure d'extinction de la première ligne doit être respectée", ou, en mettant les majuscules, "Le temps d'évaporation de l'apprêt doit être respecté"... D'évaporation ? Heureusement que l'on arrive à comprendre la signification dans le contexte.
Bref !
Une fois passé un foirage en suivant les recommandations pour un matériau poreux ou très absorbant, c'est-à-dire une dose de colle, trois doses d'eau, le tout en sous-couche... Là encore, je ne dis pas, le concept est bon, MAIS... Il faut doser en fonction de la porosité ou de l'absorption du matériau... Ou se retrouver, comme moi, à attendre quasiment 5 jours que la sous-couche sèche enfin ! (~ x_x)~
Donc disais-je, une fois passés les essais et erreurs, cette colle fonctionne plutôt bien... En mode Bourrin (r) !
La Technique Bourrin (r) ? Kezako ?
Simple ! :
Un tube, un pistolet, le premier dans le second, tartinage de mousse artistiquement aléatoire (le zigouigoui zig-zagant reste le plus efficace...) et...
VLAM !
20 secondes comptées à la louche pifométrique de placage violent contre la surface choisie pour recevoir vos mousses acoustiques... Et voilà !
Pour plus de sécurité, j'ai, à chaque fois, posé sur mes encollages une grande planche légère, juste pour les maintenir à plat sans pression.
Pas de sous-couche, pas de temps de prise ou de séchage, de dilution de colle... Est-ce la bonne méthode ? Sûrement pas ! Mais est-ce qu'elle fonctionne ? Voui !