Theremin
- Quantification variable
- Accordeur intégré
- 32 mémoires pour les paramètres
- Haut-parleur intégré
- Délai ping-pong stéréo réglable
- Sortie casque
- Port MIDI-USB
- Sortie CV
- 2 sorties ligne jack 6,3 mm
- Taraudage 3/8" pour montage sur pied
- Écran LCD
- Dimensions (LxHxP): 578 x 381 x 165 mm
- Poids: 1,3 kg
Nouvelle version du thérémine
Moog propose avec le Theremini une nouvelle interprétation plus compacte du fameux Theremin, un concept qui a fait ses preuves, qui s’adresse aux utilisateurs de tous âges et garantit rapidement du plaisir musical. Ces instruments firent rapidement la réputation de Bob Moog, fondateur de l’entreprise, et lui permirent de connaître ses premiers succès, bien qu’il n’en fut pas l’inventeur. C’est Lev Sergueïevitch Termen (ou Léon Thérémine en français) qui fut à l’origine de cet instrument dans les années 20. Aussi bien le modèle original que sa nouvelle version présentée ici sont pilotés via deux antennes. La synthèse sonore à proprement parler repose toutefois ici sur l’Anisotropic Synth Engine de Moog. D’après le fabricant, ce moteur de synthèse numérique reproduit l’identité sonore des synthétiseurs de la marque, avec une manipulation aisée via l’écran tactile d’une tablette. Ceux qui possèdent un iPad pourront ainsi modifier en profondeur le son grâce à l’application Theremini gratuite et élaborer leurs sonorités toutes personnelles.
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Une antenne pour la hauteur du son, une autre pour le volume
L’antenne verticale du Theremini permet de définir la hauteur du son joué, tandis que l’antenne horizontale en forme de boucle permet de moduler le volume. Ce dernier peut se régler également via un potentiomètre situé sur la surface de contrôle. Les quatre potards au total permettent de régler également le niveau de correction de hauteur ou bien l’intensité de l’effet par exemple. L’affichage à cristaux liquides indique le preset, la gamme et l’effet actifs à l’instant « t ». Comme pour un accordeur automatique, l’écran affiche également la note la plus proche du son joué actuellement, ainsi que le niveau du potentiel décalage entre les deux : une visualisation qui aide grandement au jeu. À la gauche de l’affichage on trouve les touches pour le choix de la gamme : soit en répétant la pression sur le bouton pour passer d’une gamme à l’autre, soit en maintenant la pression et en faisant tourner le potard des presets pour atteindre plus rapidement la gamme souhaitée. On peut ajouter comme effet un delay stéréo avec trois temps de répétition préprogrammés.
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Pour un jeu sûr en toutes situations
Le Theremini s’adresse à tous ceux qui souhaitent apporter un peu de fraîcheur à leur prestation scénique, sous la forme d’un instrument expérimental. Son haut-parleur intégré lui permet d’être employé en toutes situations. Et l’on veut s’exercer silencieusement, la face avant dispose d’une prise pour brancher un casque. Un filetage 3/8" sur la face inférieure lui permet d’être fixé sur un pied optionnel, de sorte que l’on peut jouer le Theremini debout sur scène si l’on préfère. La sortie stéréo est indépendante du potard de volume, de sorte que le niveau du signal en sortie est toujours maximal. La prise CV-Out à l’arrière permet de piloter des synthés compatibles à partir du Theremini. La tension est réglable entre 0V et 5V ou bien entre 0V et 10V. La fente Kensington située également à l’arrière fournit une sécurité physique contre le vol ou la chute de l’appareil.
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À propos de Moog
Moog, installé aux USA à Asheville en Caroline du Nord, est non seulement l'un des pionniers dans la conception et la fabrication de synthétiseurs, mais surtout une véritable légende dans le domaine. Son fondateur Robert Moog s'est intéressé dès les années 50 à la création sonore électronique et s'est notamment fait la main en fabriquant des Theremines. Il percera en 1968 grâce à l'album « Switched-On Bach » de Wendy Carlos (mais sous le nom de Walter Carlos), intégralement réalisé avec un synthétiseur monophonique enregistré en overdub. Le Minimoog, mis sur le marché en 1971, devint le synthétiseur phare des années 70 et sert encore aujourd'hui de mètre-étalon en termes de sonorités synthétiques. Lui et d'autres modèles de la marque tels que le Memorymoog, le Polymoog ou encore le Prodigy ont profondément marqué de leur empreinte les albums d'artistes ou groupes comme Stevie Wonder, Police, Saga ou Kraftwerk.
Une calibration facile
Après chaque déplacement de l’instrument, il convient de le calibrer. Pour effectuer cette opération, on est guidé via un menu qui nous décrit les différentes positions de mains à tenir par rapport aux antennes. Si l’on s’éloigne du Theremini, celui-ci émet alors un son continu, un comportement que l’on peut modifier via la fonction « auto-mute ». Le mode d’emploi livré avec fournit également de nombreuses indications de jeu et de manipulation de l’instrument. Le bouton rotatif cranté situé tout à droite permet de choisir entre 32 presets, de sorte que l’on puisse trouver rapidement et facilement le son approprié. Ce bouton sert également à modifier les paramètres dans les menus via l’écran LCD. Une prise USB de type B permet en outre de transmettre et de recevoir des données MIDI afin de piloter des appareils externes ou d’enregistrer des données MIDI dans votre DAW.
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